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5 results tagged Toulon  x

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Partez à la découverte de Telo Martius, le port antique de Toulon, grâce à une conférence - Var-Matin
Sat 18 Jun - 14:17

Longues de 6 à 8mètres, les barques ont été découvertes en 1987 au pied de la tour du Mûrier, à l’occasion de la construction du centre Mayol-Photo DRLongues de 6 à 8mètres, les barques ont été découvertes en 1987 au pied de la tour du Mûrier,
à l’occasion de la construction du centre Mayol-Photo DR

Les passionnés d’histoire locale vont être gâtés. Ce samedi après-midi, à l’auditorium de la médiathèque Chalucet, le Centre archéologique du Var propose de partir à la découverte de Telo Martius, le port antique de Toulon. Michel Pasqualini et Alba Ferreira Dominguez, deux experts du CNRS, viendront présenter, lors d’une conférence, les vestiges de l’agglomération portuaire romaine retrouvés ces dernières années. Parmi eux, les fameuses barques à fond plat – horeiae – vieilles de plus de 2000 ans et aujourd’hui conservées à Aix-en-Provence.

"L’événement est organisé dans le cadre des journées européennes de l’archéologie, mais aussi à l’occasion de la sortie de l’ouvrage Toulon (Telo Martius), une agglomération portuaire romaine de la cité d’Arles (1)", explique Marina Valente, directrice du Centre archéologique du Var. "Ca fait des années qu’on attend ce volume, qui raconte l’intérêt des fouilles réalisées du côté du quartier de Besagne ou de l’Equerre et ce qu’elles nous ont appris."

"Une cité active dès le Ier siècle"

Il aura par exemple fallu les "découvertes inédites et spectaculaires" faites en ville dans les années 80 par les archéologues, pour comprendre que Toulon n’a pas attendu le Ve siècle et son élévation au rang d’évêché pour acquérir de l’importance. Sous la direction de Jean-Pierre Brun, Michel Pasqualini, Giulia Boetto et Emmanuel Botte, le livre dépeint une agglomération portuaire organisée et active dès le Ier siècle de notre ère, avec ses quais, voies et entrepôts, ses habitations, boutiques, installations artisanales et aménagements hydrauliques.

"Le mobilier conservé dans la vase du port nous renseigne sur le trafic portuaire entre les Ier et IIIe siècles de notre ère", expliquent les auteurs. "La découverte de cinq épaves, dont deux de forme inédite, nous suggère le type de bateaux qui accostaient aux appontements en bois."

Ceux qui rêvent par contre d’apercevoir les fameuses embarcations devront patienter… le temps de la construction d’un hypothétique grand musée de l’archéologie varoise. N’en déplaise aux passionnés d’histoire locale, leur retour à Toulon n’est toujours pas d’actualité.

archéologie Telo-Martius Toulon
http://about://reader?url=https%3A%2F%2Fwww.varmatin.com%2Fhistoire%2Fpartez-a-la-decouverte-de-telo-martius-le-port-antique-de-toulon-grace-a-une-conference-775007
Ce travailleur acrobatique photographie les toits de Toulon - Var-Matin
Tue 7 Jun - 20:25

Cordiste, ce Revestois exécute des travaux de maçonnerie sur les toits de Toulon, qu’il s’est mis à photographier au fil des ans. Jusqu’à vouloir en faire profiter le public.

Publié le 07/06/2022 à 16:34 par Mathieu Dalaine

Cordiste de profession, le Revestois Christian Maurel arpente les toits toulonnais dans le cadre de sa profession et en profite pour faire des photos surprenantes sur la commune. Photo Frank MullerCordiste de profession, le Revestois Christian Maurel arpente les toits toulonnais dans le cadre de sa profession et en profite pour faire des photos surprenantes sur la commune. Photo Frank Muller

Au royaume des vieilles tuiles, graffeurs et monte-en-l’air sont rois. C’est ici aussi, sur les toits du centre-ville de Toulon, que Christian Maurel passe l’essentiel de ses journées. Depuis trente ans, ce travailleur acrobatique répare les verrières, les châssis à tabatière et traque les fuites d’eau de ce palais à ciel ouvert; le tout suspendu à vingt mètres au-dessus du sol.
"Et puis, un jour, alors même que je venais de m’offrir un appareil photo, je me retourne et prends conscience que c’est ça qu’il faut photographier…" Ça, c’est le paysage azur et ocre qui s’ouvre devant lui, où s’empilent le haut des immeubles anciens et le bleu de la Méditerranée. Cheminées, puits de lumière, balcons oubliés se révèlent comme depuis aucun autre promontoire toulonnais.
Christian voit plus loin. "J’ai imaginé des cadres qui mettaient en valeur mes clichés: des créations en forme de grue, d’échafaudage, d’altana… Je dois maintenant trouver un lieu suffisamment grand pour que je puisse les exposer! Mais mon titre est tout trouvé: ‘‘Entre toits, émoi’’".

Le photographe photographié!

En plein travail au-dessus du boulevard de Strasbourg, Christian Maurel a pris la pose. Il œuvrait ce jour-là à refaire l’étanchéité d’un altana. Photo Frank Muller.En plein travail au-dessus du boulevard de Strasbourg, Christian Maurel a pris la pose. Il œuvrait ce jour-là à refaire l’étanchéité d’un altana. Photo Frank Muller

Ces verrières pyramidales ou coniques, au nombre de 150 à Toulon, visent à apporter de la lumière dans les cages d’escalier.
C’est au milieu du XIXe siècle, alors qu’est adopté le principe d’une surélévation des immeubles du centre, que les premiers ont vu le jour.

500 photos à son actif

Christian Maurel confie avoir pris plus de 500 photos des toits de Toulon. Photo DR.Christian confie avoir pris plus de 500 photos des toits de Toulon.

"Suivant l’heure, l’orientation, la météo, les paysages se transforment".

À Besagne, la ligne d’horizon se compose de silhouettes de frégate et de paquebot, ainsi que des grues du port militaire.
Quand la luminosité tombe, la vieille ville semble happée par le bleu de la mer.

Spectateur de la métamorphose du centre ancien

Depuis 2012, le photographe voit l'évolution du centre ancien Photo DR.Depuis 2012, le photographe voit l'évolution du centre ancien Photo DR.

"Mon travail est à la fois esthétique et historique".
Depuis 2012 qu’il s’est mis à photographier tous azimuts, Christian Maurel a vu l’évolution du centre ancien, comme ici l’îlot Baudin avant sa réhabilitation.

"La transformation est réellement impressionnante", assure celui-ci.

La richesse des toits de Toulon

La richesse des toits de Toulon et ses grues. Photo DR.La richesse des toits de Toulon et ses grues. Photo DR.

Le cap Sicié et la rade en toile de fond. Les toits de Toulon et leurs tuiles montrent leur richesse. "On découvre des balcons cachés, des nids de gabians entre les cheminées, du linge suspendu…", détaille Christian Maurel.

Et toujours ces grues que les photographies officielles oublient souvent de montrer lorsque l’objectif s’oriente vers la mer.

Le beffroi de l’ancienne Caisse d’Épargne, joyau "aérien" des toits de Toulon

Le beffroi de l’ancienne Caisse d’Épargne, qui surplombe aujourd’hui l’opéra, est l’un des joyaux Le beffroi de l’ancienne Caisse d’Épargne, qui surplombe aujourd’hui l’opéra, est l’un des joyaux "aériens" des toits de Toulon. Photo DR.

Érigé en 1895, le beffroi de l’ancienne Caisse d’Épargne, qui surplombe aujourd’hui l’opéra, est l’un des joyaux "aériens" des toits de Toulon. "Avec le campanile de la cathédrale, la toiture de l’ancien palais de justice ou les halles, évidemment", sourit Christian Maurel

artisan Christian-Maurel Mathieu-Dalaine Revestois Toulon
http://about://reader?url=https%3A%2F%2Fwww.varmatin.com%2Fvie-locale%2Fce-travailleur-acrobatique-photographie-les-toits-de-toulon-772298
Un site pour les Archives municipales de Toulon | La Revue française de Généalogie
Mon 4 Apr - 20:28

Fières de conserver plus de 800 ans d’histoire toulonnaise, les Archives municipales ont commencé à publier en ligne certains fonds sur leur tout nouveau site Internet.

La navigation s’effectue soit par la barre de menu placée dans le bandeau supérieur, soit par les cartouches, au centre de la page d’accueil, qui mènent aux quatre rubriques-phares :

  • Le document du mois
  • Je fais une recherche en ligne
  • Je découvre les Archives municipales
  • Je viens aux Archives

Dans la rubrique « Je fais une recherche en ligne », on trouve notamment les délibérations du XVe au XXe siècle qui ont été indexées. C’est donc une base de données de 59 689 notices qui est interrogeable à partir d’un mot-clé. Pour les plus anciennes, datées de 1426 à 1491, seules les délibérations les plus importantes ont été analysées mais tous les registres sont numérisés et donc accessibles en ligne sous forme d’images. La période 1816-1922 est également numérisée et en ligne, elle est entièrement indexée. Les autres registres sont inventoriés mais se consultent en salle de lecture, sous forme papier ou virtuelle en fonction des dates.

En choisissant « Découvrir » dans le menu, vous accéderez à des thématiques originales qui mettent à l’honneur, tous les mois, un évènement historique différent comme les cahiers de doléances de 1789, le projet de rénovation de la ville en 1932 ou les carnavals toulonnais des XIXe et XXe siècles.

Voyez aussi les « Traces de la Grande Guerre à Toulon » où sont notamment présentés sous forme PDF les livres d’or des lycées de Toulon, qui recensent les anciens élèves et les professeurs mobilisés et décédés pendant le conflit : lycée de Toulon et lycée Rouvière. Vous y trouverez une notice biographique et parfois une photographie de chaque disparu. Dans la même rubrique, une carte géolocalise les voies, monuments et hôpitaux en lien avec la Première Guerre mondiale à Toulon.

Des fiches pratiques sont également à la disposition des internautes, comme celle dédiée aux registres paroissiaux et d’état civil, ou encore au cadastre, au recensement de population, aux listes électorales, ainsi qu’une rubrique « Sur les traces de vos ancêtres », très bien construite. Une possibilité est aussi offerte pour visiter les archives, sur inscription.

Le site des Archives municipales de Toulon propose également aux internautes des fiches pratiques dont celle qui aide à partir « Sur les traces de vos ancêtres ».

Liens utiles

  • Archives municipales de Toulon
  • Délibérations municipales du XVe au XXe siècle
  • Sur les traces de vos ancêtres
Archives-municipales Généalogie Toulon
https://www.rfgenealogie.com/infos/un-site-pour-les-archives-municipales-de-toulon
Barberousse à Toulon en 1543 - Passion Provence
Sun 6 Mar - 07:45

Barberousse à Toulon en 1543Sur cette miniature représentant Toulon, on peut identifier des éléments du paysage : (1) la Grosse Tour à l'extrémité de la pointe de la Mitre ; (2) le port de Toulon avec son môle et la plage bordant les remparts du XIVe siècle ; (3) le mont Faron ; (4) le Coudon ; (5) la rivière de l'Eygoutier ; (6) le mont Caumes ; (7) le Baou et le massif du Croupatier ; (8) la rivière du Las ; (9) la Reppe et les gorges d'Ollioules.

La plus ancienne représentation iconographique de Toulon nous vient de Turquie et date du XVIe siècle. Elle a été retrouvée au début des années 1960 dans un manuscrit conservé à la bibliothèque du Trésor du Vieux Sérail, à Istanbul. Le précieux document relate les expéditions militaires de l'Empire ottoman en 1543 menées par Khayr ad-Dîn Barberousse, grand amiral des flottes. Il est illustré de quatre miniatures représentant Marseille, Nice, Antibes et Toulon. Ces vues, prises sans doute depuis le pont d'une galère par un dessinateur d'escadre, avaient pour but de fournir une reproduction des ports et des forts de la côte, en prévision de futures campagnes navales. Le paysage de la miniature est très stylisé, avec ses montagnes piquées de fleurs ou de pieds de vigne et ses maisons alignées, les éléments importants y sont parfaitement retranscrits. On reconnaît au premier plan la tour Royale, puis sur le quai le Portal de la Mar et son appontement, les remparts, les faubourgs Saint-Michel à l'est et du Portalet à l'ouest, les rivières Neuve et de l'Eygoutier qui se jettent de part et d'autre du port, la tour de Fos servant de clocher à la cathédrale et, à sa droite la tour de la porte Saint-Michel. Derrière les collines en haut à gauche, on devine le village d'Ollioules dont on voit une tour à créneaux qui symbolise les remparts et un bâtiment imposant qui pourrait représenter son château.

Barberousse à Toulon en 1543Détail de la miniature sur la ville de Toulon : (1) on identifie le môle sur lequel ouvre le Portal de la Mar (la Porte de la Mer) ; (2) la Porte et la Tour du Portalet, au sud-ouest de l'enceinte ; (3) la Tour de Fos, servant de clocher à la cathédrale ; (4) le faubourg du Portalet, où furent logés la plupart des Turcs en 1543 ; (5) le Pesquier, au sud-est de l'enceinte.

La venue de cette armada de 110 galères, 40 galiotes et 4 nefs, qu'on peut voir en partie sur la miniature, avait été sollicitée par François 1er, roi très chrétien du royaume de France, afin de contrer les armées de Charles Quint, empereur du Saint Empire romain germanique, qui menaçait les frontières du royaume car un conflit permanent existait entre le royaume de France et le Saint Empire notamment pour le contrôle du nord de l'Italie. Dès son accession au trône, François 1er avait poursuivi la politique italienne de ses prédécesseurs, revendiquant l'héritage des territoires du Milanais et de Naples et intensifiant les combats. Alors qu'il était prisonnier à Madrid en 1525, sa mère, Louise de Savoie, puis lui-même, cherchent à obtenir des soutiens et sollicitent l'Empire ottoman. Le sultan Soliman le Magnifique, dont les zones d'influences se heurtaient en Hongrie et en Méditerranée à Charles Quint, manifesta son intérêt pour une alliance avec le royaume de France. Celle-ci resta secrète et fut dissimulée sous un accord commercial, connu sous le nom de "Capitations". Libéré en mars 1526 après un accord humiliant, François 1er reprit les armes, mais fut contraint en 1529 de signer la paix des Dames. Le décès en 1535 du duc de Milan, l'incita à reprendre la conquête de la Savoie. En retour, Charles Quint envahit la Provence. Malgré une trêve de dix ans conclue à Nice, François 1er se dressa à nouveau contre Charles Quint à la suite de l'assassinat de deux diplomates français par des impériaux. Aussi, en 1542, pour empêcher une nouvelle invasion de la Provence, il appela à son secours la flotte ottomane. Après avoir fait une première halte à Toulon, Barberousse fut accueilli en grande pompe à Marseille où il résida quelques temps.

François-1er_BarberousseFrançois 1er et Barberousse

Devant l'impatience des Ottomans, François 1er les incita à s'emparer de Nice, possession de Charles de Savoie qui aurait pu lui ouvrir les portes de la péninsule. Les troupes françaises et ottomanes bombardèrent de concert la ville et sa citadelle mais cette dernière résista. Les navires de l'amiral génois Andréa Doria s'annonçant, la flotte franco-turque se replia. La mauvaise saison étant trop avancée, elle fut contrainte de passer l'hiver à Toulon aux frais du trésor royal. Cette invitation bouleversa la vie des Toulonnais entre septembre 1543 et mars 1544. Des lettres patentes du roi en date du 8 septembre 1543 ordonnèrent aux habitants, alors au nombre de 5 000, d'évacuer la ville pour céder la place à "l'armée du sieur Barberousse". Pour la première fois dans l'histoire de Toulon, un conseil général fut convoqué, soutenu par tous les notables, afin de négocier avec le gouverneur de Provence la sauvegarde des récoltes, l'obtention d'avantages fiscaux en dédommagement des pertes subies et un compromis à l'évacuation totale de la ville. Les consuls obtiennent la permission de ne faire partir "que les enfants seulement et femmes qui vouldroient en aller (...) et qu'on y mectroyt telle police que ny aurait désordre ny inconvénient" (délibération du conseil général de Toulon du 25 septembre 1543). Ils réussirent également à faire exempter la ville de la taille et du logement des troupes pendant dix ans.

Une partie des 30 000 marins et soldats ottomans débarqua, s'installant dans un camp de toiles puis dans des baraquements au faubourg du Portalet. On y logea également Barberousse dans une grande savonnerie, dont le mobilier fut amélioré à grands frais par les consuls. Les troupes durent se comporter avec suffisamment de discipline car les textes ne font mention que de dégradations matérielles. En 1544, Charles Quint et François 1er, lassés de ces guerres, décident de parler de paix et la flotte de Barberousse, dont l'entretien coûtait cher, fut renvoyée au sultan avec force cadeaux et diplomatie. Cela coûta à François 1er "800 000 écus d’or, pièces d’orfèvrerie et draps de soie en grand nombre plus vivres et munitions". Bien qu'elle ne fût pas véritablement utilisée, on peut supposer que cette immense flotte dissuada les impériaux de lancer une nouvelle offensive en Provence. Barberousse continua à perpétrer de multiples exactions dans le golfe de Naples et à Reggio di Calabre avant de regagner Constantinople avec un énorme butin et de nombreux esclaves. Sans que la France en tire d’avantage.

Le 18 septembre 1544, François 1er signe avec Charles-Quint le traité de Crépy par lequel il s’engage à combattre les Ottomans, mettant fin à l’alliance turque.

Source : Toulon de A à Z - Magali Bérenger - Éditions Alan Sutton

Pour aller plus loin : François 1er, l'islam et la mer

Barberousse Toulon
http://www.passionprovence.org/archives/2022/03/06/39276437.html
"Une véritable ville dans la ville": un reportage long format sur le port militaire de Toulon sur RMC Découverte - Var-Matin
Mon 20 May - 15:56

Un documentaire sur la rade de Toulon sera diffusé ce jeudi 23 mai à 20h50 sur la chaîne télé RMC Découverte (canal 24).

Long de 52 minutes, le documentaire de Juliette Desbois, intitulé "Toulon: le plus grand port militaire d’Europe", mettra à l'honneur la base navale établie sur les communes de Toulon et La Seyne.

Une véritable "ville dans la ville" formée d’infrastructures terrestres et maritimes, qui emploie au quotidien 23.000 travailleurs au cœur d’une surface 1.500 hectares et abrite le fleuron de la Marine nationale le Charles-de-Gaulle, et six sous-marins nucléaires d'attaque.

Le reportage présentera également un pan d'histoire: le fort Balaguier, sur le littoral seynois, ouvrage militaire édifié en 1636 dans le but de protéger des intrusions la rade de Toulon.

protection naturelle

L'environnement sera aussi abordé, puisque la base navale est bordée de rivages sur les trois-quarts de son périmètre, elle bénéficie d’une protection naturelle contre les houles du large.

Étalé sur 268 hectares et 10 kilomètres de quais, une grande partie de la flotte de la Marine nationale est stationnée dans la rade. . Par nature exceptionnelle, c’est une richesse collective, à la fois pour les varois, pour toute la France et l’Europe.

Le documentaire sera à nouveau visible sur RMC Découverte mercredi 29 mai prochain, à 20h50.

arsenal rade toulon
https://www.varmatin.com/culture/une-veritable-ville-dans-la-ville-un-reportage-long-format-sur-le-port-militaire-de-toulon-sur-rmc-decouverte-383617

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