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Randonnée : les syndicats craignent la disparition des cartes en papier
Mon 19 Jul - 12:54

L’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) désire sous-traiter l’impression de ses cartes. Selon les syndicats, cette décision pourrait entraîner leur disparition, au profit des cartes numériques. Les amateurs de randonnée font grise mine.

Les cartes imprimées de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) pourraient-elles disparaître ? C’est ce que craignent les syndicats CGT de l’établissement public d’information géographique, après que la direction a annoncé vouloir fermer son imprimerie. À compter de 2023, ces cartes, bien connues des randonneurs et des amoureux de la géographie, ne devraient plus être imprimées que par des sous-traitants. Un changement qui risque, à long terme, d’entraîner une disparition pure et simple du format papier au profit du numérique, selon les syndicats.

« À partir du moment où on arrête d’imprimer des cartes en interne, on arrête de produire des cartes papier », affirme à Reporterre Olivier Delbeke, représentant des syndicats CGT de l’IGN. Le programmeur logiciels a rejoint la maison il y a une quarantaine d’années. « D’expérience, toutes les activités qui ont été sous-traitées par l’IGN ont fini par coûter plus cher. »

Le choix de la sous-traitance est selon lui particulièrement risqué financièrement dans le secteur de l’imprimerie. Les cartes de l’IGN, en raison de leur taille et de leur grammage spécifiques, sont en effet complexes à produire. « Elles ont une chaîne de production particulière. Quand la machine est calée, on ne peut pas s’amuser à faire du catalogue ou du journal. » Ces difficultés pourraient se répercuter sur les coûts pratiqués par les sous-traitants. « Un patron veut une machine qui tourne, qui passe d’une commande à une autre facilement. Ça va être difficile de trouver des patrons d’imprimerie qui se lancent dans cette aventure, car ils devraient réaliser des investissements. »

À compter de 2023, ces cartes ne devraient plus être imprimées que par des sous-traitants.

À moyen terme, le syndicaliste craint que les difficultés techniques et économiques n’incitent la direction à mettre fin pour de bon à l’impression des cartes, devenues trop peu rentables. « C’est un enchaînement logique que l’on pense certain », dit-il. Les cartes IGN ne seraient alors plus accessibles qu’au format numérique et via l’application de l’institut, lancée en 2019. « Personne ne veut mettre sa vie dans les mains de son smartphone pour faire une randonnée en montagne ! » fulmine le syndicaliste.

Olivier Delbeke juge le choix de la sous-traitance d’autant plus incompréhensible que le confinement a entraîné un regain d’intérêt pour les activités de plein air. Cela s’est répercuté sur les activités de l’imprimerie de l’IGN. Les ventes de cartes de randonnée en ligne ont ainsi augmenté de 57 % en 2020 et de 29 % au premier semestre de 2021 (par rapport à 2019). L’imprimerie de l’institut est aujourd’hui « parfaitement rentable », selon le représentant des syndicats, qui critique la « religion de l’externalisation » dans la fonction publique.

« C’est vrai qu’avec la crise sanitaire, il y a eu un petit engouement pour la promenade, tempère Didier Moisset, directeur adjoint de la production à l’IGN. Il n’empêche que la tendance des ventes de cartes papier est à la baisse depuis vingt ans. » Selon la direction, le volume de cartes imprimées a été divisé par environ sept depuis 2000. Les coûts importants de maintenance et d’amortissement de l’achat de la machine utilisée pour imprimer les cartes de l’IGN justifient, selon Didier Moisset, « d’optimiser le dispositif » au moyen de la sous-traitance. « Quand on a besoin d’une voiture tous les jours, cela vaut la peine d’en avoir une dans son garage, dit-il. Si le besoin n’est qu’épisodique, cela peut être plus rentable de la louer, même si c’est plus cher au kilomètre. »

Le directeur adjoint de la production assure par ailleurs qu’il n’est « pas question » pour l’IGN d’arrêter de produire des cartes papier : « C’est l’emblème de la maison. Le but de l’IGN est juste d’équilibrer les coûts. »

« Une carte est à la fois un outil et presque une sorte de paysage en soi »

Ces promesses ne parviennent cependant pas à rassurer les syndicats. Ces derniers ont lancé le 25 juin une pétition contre « la fin de la carte papier ». Certes, elle est pour l’instant hypothétique mais la numérisation des cartes IGN pourrait être extrêmement préjudiciable à la population, selon Yves Marry, cofondateur de l’association de lutte contre la dépendance aux écrans Lève les yeux. « Cela irait dans la droite ligne d’autres évolutions qui s’imposent aux gens avec le numérique, et qui remplacent des usages traditionnels par des pratiques ayant de nombreux effets négatifs. »

Le coût environnemental du numérique est l’un d’eux. Ses conséquences sur la cognition en sont un autre. « Le passage au GPS peut faire baisser la capacité d’orientation des gens, qui est un sens qui se travaille, dit à Reporterre Yves Marry. On délègue des fonctions cognitives à des outils en pensant se faciliter la vie alors que, dans une certaine mesure, on se déleste de compétences. » Cela pourrait avoir des conséquences sur la sécurité des usagers à cause, selon lui, de la marge d’erreur et des approximations des GPS installés sur les téléphones.

Si le militant associatif Yves Marry tient tant aux cartes papier, c’est aussi pour « l’expérience sensorielle particulière » qu’elles offrent. « On la regarde à plusieurs, on réfléchit au trajet… Ça fait de la randonnée un moment sans écran, ce qui devient un privilège rare puisque le numérique a envahi tous les endroits de notre vie. Avec un smartphone, la moindre notification nous sort de l’instant présent, alors que la randonnée offre un moment pour se déconnecter des affres du quotidien. »

« L’un des plaisirs et intérêts de la marche, c’est de faire se sur-imprimer la carte et le paysage. »

Pour le grand marcheur Antoine de Baecque, auteur, entre autres, d’Une histoire de la marche (éditions Perrin, 2016), la disparition des cartes au format papier serait « une sorte de fin du monde ». « L’un des plaisirs et intérêts de la marche, c’est de faire se sur-imprimer la carte et le paysage. C’est un jeu d’aller-retour constant opéré par le regard, qui peut identifier ce qui dans le paysage découle de la carte et ce qui peut la compléter, la contredire, la piéger, la révéler… Je serais incapable de le faire autrement qu’avec une carte papier. »

Selon l’historien, la matérialité de ce format lui confère une beauté particulière. « La carte papier est limitée et en même temps étendue, contrairement à un écran de portable. Elle est à la fois un outil et presque une sorte de paysage en soi. Le papier, les froissements, les effacements de lieu liés aux pliures de la carte, à la pluie, à la sueur… »

Si la numérisation complète des bases de données de l’IGN serait pour lui « une catastrophe », Antoine de Baecque est optimiste. Tout comme Yves Marry : « Beaucoup de gens en France comprennent son importance et seraient prêts, je l’espère, à signifier leur opposition si sa disparition se concrétisait. Nous, en tout cas, nous serions là. »

Cartes rando
https://reporterre.net/Randonnee-les-syndicats-craignent-la-disparition-des-cartes-en-papier
Sortie de nuit de pleine lune, Bau dei quatre Auro, samedi 24 juillet (Page 1) – Balades et randonnées – Sur la Place du Village
Fri 2 Jul - 12:53

Sortie pédestre de nuit de pleine lune samedi 24 juillet 2021
Durée environ 4 heures - Dénivelé 300m - 7km
Sous réserve du maintien des massifs ouverts et d'une météo clémente (SMS si annulation)

Départ de la marche des Hautes Pavègnes (covoiturage), sur la piste militaire stratégique. Du pont, ascension par la "draille de la grille", passage par la citerne enterrée puis montée vers le sommet jusqu'au-dessus du Pas de la Cavale. De Cap Gros, vue panoramique sur Caume, la vallée de Dardennes, le Faron, Toulon, La Seyne, Sanary, Bandol ... Retour par le GR, passage devant l'ancienne tour de guet, le Matelot, les falaises éclairées par la lune et le rocher gravé en 1238 aux armoiries d'Ollioules et de Toulon délimitant les territoires des seigneurs de l'époque, accompagnés, peut-être, par le chant des oiseaux de nuit.

Pleine Lune

Sans difficulté pour bons marcheurs (enfants, adultes). Éclairage à la frontale si besoin. Prévoir de quoi pique-niquer là-haut
Chaussures de marche, eau et assurance personnelle sont indispensables pour ce type de sortie.
Les accompagnateurs ne sont pas des guides officiels mais des bénévoles qui vous font partager la découverte de ces lieux.

RV parking de l'école des Quatre chemins des Routes (Toulon) à 19h00
Inscrivez-vous en utilisant ce lien clic ici
Renseignements : Marie-Hélène Taillard 06 20 95 21 88

rando
https://forum.revestou.fr/post1029.html#p1029
Rando-Var : à travers les garrigues
Tue 18 May - 19:34

La roche calcaire est la reine des garrigues méridionales.

Les défrichements séculaires, le mouton et l'agressivité du climat l'ont mise partout en évidence. Elle est dure, saillante, souvent acérée. La pierre, omniprésente sur les sentiers, sonne sous le pied. Elle dessine les barres rocheuses, les baous chers à Pagnol, comme les combes qui rythment les paysages de Cuers à la Sainte Baume.

Durant plus de 100 millions d'années, pendant l'ère secondaire, la mer a occupé une grande partie de la Provence. Elle y a déposé d'épaisses couches de calcaire provenant des coquilles d'invertébrés marins, superposées en strates de différentes hauteurs. Un mètre d'épaisseur représente, selon la profondeur de la mer, entre 2000 à 100 000 ans de dépôts.

Chaque strate épaisse ou fine, dure ou friable, claire ou rougeâtre, à grains fins ou grossiers, chaque strate est un enregistrement des conditions environnementales d'une époque : climat, profondeur de la mer, relief du continent voisin... Une faible profondeur, une mer chaude, une longue période de même niveau marin sont en général les conditions les plus propices à la constitution d'une sédimentation calcaire épaisse.

Une caractéristique majeure des massifs calcaires est leur grande, leur intense fracturation. Elle va de la minuscule fissure au gouffre le plus large, en passant par l'aven caché sous les herbes et les ronces. En surface le carbonate de calcium dissous par les pluies, acidifiées par l'humus des sols, est vite entrainé par l'excellent drainage des calcaires crevassés.
Ne restent sur place, piégées dans les creux et les poches, que des argiles, non solubles, qui sont une impureté du calcaire originel.

Le climat méditerranéen, fait de précipitations brutales et brèves, suivies de longues périodes de sécheresse, favorise l'oxydation du fer que contiennent les argiles. Plus le climat est chaud, plus l'oxydation est forte et le sol rougeâtre. Quand ces sols sont épais et ne contiennent pas de calcaire, ces sols sont très fertiles. D'où parfois ces labours au fond de petites combes.

Le mot garrigue, à l'origine ancienne, désignait des territoires fortement anthropisés, des territoires fortement marqués par l'activité humaine. Aujourd'hui, les jeunes forêts de chênes et de pins s'installent sur les garrigues, mais l'homme qui a délaissé ces territoires, conserve cette appellation. Une nostalgie, une habitude ? Peut être... La plupart de ces espaces évolue rapidement mais, pour l'homme, ils demeurent la garrigue.

Ces territoires anthropisés étaient jadis le domaine des chaufourniers (chaux, poix, cade, les enguentiés), des charbonniers, des chasseurs à la glu, au filet, au fusil, des cueilleurs d'asperges, salades, petit bois, des fabricants de balais, des gemmeurs, et cela principalement autour des villes et tout au long de la côte.

Il faut cependant, tout en respectant l'attachement au mot, discerner les plantes qui aujourd'hui colonisent les terrains calcaires de ces garrigues millénaires : pelouses, forêts, et entre eux deux, ces espaces ouverts où dominent les plantes ligneuses et qui ne sont plus des pelouses et pas encore des forêts, et que la communauté scientifique qualifie sous le mot d'origine espagnole, matorral. Le matorral c'est cet espace sans arbre que colonisent cyste, genet, calycotome, coronille, bruyère, chêne kermès..

En Provence le matorral présente une grande diversité : le Chêne kermès, la Coronille à tige de jonc, le Genêt scorpion s'associent aux arbustes tel le Filaire à feuilles étroites, le Pistachier térébinthe, le Cade... tandis que la pelouse où jadis courrait le mouton, se couvre de Brachypode rameux, de Thym, de Lavande...

Les garrigues s'étagent de la mer à la limite de l'Olivier, zone où les plantes des terrains arides ont disparu. Au delà, sur les plateaux calcaires d'altitude moyenne, comme les coteaux du Ventoux, les formations végétales proches en apparence ne peuvent plus s'appeler garrigues, terme réservé à la zone méditerranéenne telle que définie par la limite de croissance de l'Olivier, selon la définition reconnue du botaniste Charles Flahault (1852 - 1935).

Le Chêne vert ou la Cigale plébéienne, illustres représentant du monde méditerranéen, auraient pu être choisis pour définir cette zone, mais... ils se retrouvent dans d'autres régions. La Camphorée de Montpellier, par contre, couvre le même périmètre que l'Olivier mais... mais la Camphorée ne porte pas sur sa corolle autant de symboles que l'Olivier.
En cela nous devons remercier Homère !

garrigue Provence rando Rando-Var
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Rando-Var : GR 99
Tue 18 May - 16:37

Mardi 9 octobre, de gros orages traversent le Var...mais au matin, mercredi, le ciel est dégagé : départ Le Revest 8h20. Direction le Verdon en suivant le GR 99.

Au dessus du Revest, la rade de Toulon au loinAu dessus du Revest, la rade de Toulon au loin

Sur la droite tu laisses, au milieu de grands arbres, une grande demeure qui domine le Revest. Une plaque indique que de Lattre de Tassigny, à la tête de son régiment de tirailleurs algériens, fit la jonction avec les troupes de la résistance du Var dans cette maison. Et décida la libération de Toulon.

La carrière est au dessus de toi. Le crissement des chenilles sur la roche te ramène à la libération : tu imagines un tank là, à la manœuvre...

Le sentier suit un ancien chemin muletier, la roche porte en quelques rares endroits la trace du roulage des chariots. Ses empreintes sont visibles sur les seules parties amont du chemin; les parties aval ont été détruites par l'érosion : plus de 40 cm emportés! La pente a favorisé ravinement et excavation.

Tu es sur la crête, le Mont Caume à gauche, Roca Troca à ta droite, blanc de cailloux, quasi pelé. La rade de Toulon est visible entre Faron et Baou des Quatre Aures. Au col débute le plateau de Siou Blanc. La chênaie est basse. Un chasseur te dépasse dans un Lada, des cages à appelants sont empilées à l'arrière. Un camion forestier, sans train arrière, rouille, abandonné au croisement de pistes. Tu traverses plusieurs coupes. Les rochers de Siou Blanc se dressent comme des moines figés...De minuscules dépressions tapissées d'herbes vertes et tendres bordent le chemin. Elles constitueraient des lieux rêvés pour bivouacs .

Siou Blanc, les roches comme des moines blancs figés...Siou Blanc, les roches comme des moines blancs figés...
Tu coupes la route forestière, traverses les plantations de l'ONF, direction l'abri de Siou Blanc.
Siou Blanc, les plantations de l'ONF : la végétation change..Siou Blanc, les plantations de l'ONF : la végétation change..

11 heures : fromage et figatelli...

Siou Blanc, l'abri...la pause repasSiou Blanc, l'abri...la pause repas

Puis direction Nord et Ouest : le GR suit la ligne des crêtes, contourne la ferme de la Limate et plonge vers Signe. Raide, non entretenu, le sentier est barré en de multiples endroits par des arbres ou branches tombés.

Les crêtes...Mazaugues quelque part en bas, la montagne de la Loube au fondLes crêtes...Mazaugues quelque part en bas, la montagne de la Loube au fond

Là tu perds le tracé du GR et prends une piste nord parallèle à une ligne à haute tension et te retrouves sur la crête...au lieu dit le Mourié d'Agnis, au dessus de la bastide de Taillane et des ruines de la Taoule posées au milieu de prés...vue magnifique de la Sainte Baume, la Loube...

Du Mourié d'Agnis, vue sur la TaouleDu Mourié d'Agnis, vue sur la Taoule

Tu suis le tracé jaune, contournes le champ de La Croix et te diriges vers La Venelle, le long de la piste forestière. Tu es à 6 kms de Mazaugues. Dans la boue du chemin, les marques de sabots de sangliers pullulent...Dans la courbe de Bagatelle, une source, un réservoir bâti... une restanque, un espace dégagé au milieu d'un cercle de chanterelles... il est 19h30 fourbu tu t'arrêtes, montes la tente, te douches, et prépares le repas...

Jusqu'à 10h du soir ce ne sera que pépiements, hululements, chuintements, caquètements et autres cris d'oiseaux ! quelle idée de poser le sac à coté d'une source ! Où les sangliers viendront boire à 4 h du matin !!

Bagatelle : le bivouac près de la source aux oiseaux et sangliers...Bagatelle : le bivouac près de la source aux oiseaux et sangliers...

De Mazaugues au Caramy, le chemin traverse les terres de bauxite...De Mazaugues au Caramy, le chemin traverse les terres de bauxite...

5h30 : bruit de moteur : arrivée des premiers chasseurs ...
7h20 - 9h00 : coups de fusil.
10 h : bar de Mazaugues, lecture de la presse, café.

Entre les affleurements calcaires la bauxite demeure dans des poches. Avec la pluie, l'oxyde de fer apporte les couleurs de Lubéron, et ses rouges plus ou moins sombres. La verdure et le calcaire ont un nouveau partenaire.

Au dessus de St Maximin et du Caramy et du pont romain de Cassède, la chapelle de St ProbaceAu dessus de St Maximin et du Caramy et du pont romain de Cassède, la chapelle de St Probace.

Le GR serpente et suit la courbe vers l'Est du Caramy. Une longue descente vers la plaine de St Maximin et Brignoles, vers la vigne. La chapelle de St Probace domine la vallée. Chênes et érables commencent à perdre leur premier feuillage

13h : pause devant le Mas de Loube13h : pause devant le Mas de Loube.
9h de marche hier, 3h ce matin...
Sur le GR 100 m plus loin, un lapin surgit à tes pieds : plus rapide, il s'esquive dans le talus avant que tu ne puisses le photographier.

Le chemin traverse les vignes. Le raisin chauffé en plein soleil ne désaltère pas.

Le Caramy ou l'heure du bain...  Le Caramy ou l'heure du bain...

Enfin, le Caramy ! tu le passes à gué. L'eau murmure sur le radier et miroite sous le feuillage. La fraicheur invite à la baignade. Un champ de vignes suit le torrent, tu le longes, sous le soleil, et, au premier passage, tu sautes sous les arbres rejoindre eau et fraicheur. Ce sera un bain !
Mais à Bras, tu arrêtes : 70 kms cela suffit !
GR 99 : Fin de la 1ère partie

rando Rando-Var
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Samedi 20 et dimanche 28 mars - Le fond du lac (Page 1) – Balades et randonnées – Sur la Place du Village
Sun 14 Mar - 13:07

Pour cette reprise de nos sorties pédestres, nous vous proposons une visite des entrailles de la retenue de Dardennes, vidangée en raison des grands travaux de confortement du barrage et d’agrandissement de la surverse, débutés à l’automne dernier et qui se poursuivront au minimum durant une année.

En raison du contexte sanitaire, du couvre-feu, la sortie se déroulera sur 2h30 environ, en groupes restreints à 6 personnes (les enfants ne sont pas comptés).

Découvrir sur le terrain les sept sources qui alimentaient autrefois la vallée de la Dardenne, les transformations lors de la construction du barrage, l’histoire de la canalisation et de l’acheminement de l’eau, potable ou comme force hydraulique pour les moulins de la vallée, à l’usage des bugadières et des cultures, reconstituer par l’imagination, grâce aux empreintes visibles dans les lieux, le paysage sillonné par les habitants du Revest il y a plus de cent ans…

Balade au fond du lacBalade au fond du lac - Photo de Philippe Maurel

Quelques pistes pour en savoir plus :https://revestou.fr/pages/144-les-eaux-du-revest-l-eau-du-barrage-fr.php
Balade au barrage et dans la vallée de Dardennes https://photos.revestou.fr/picture?/le-barrage-et-la-vallee-de-dardennes/category/104-livres_et_recueils_avr
Dompter l’eau : https://photos.revestou.fr/index?/category/Eau
Le Las, une rivière dans la ville, Philippe Maurel http://maurel.tv/auteur.html

Départ du Revest au village, descente par le chemin de la Foux, exploration en partant du barrage et remontant vers le Ragas, retour par le chemin de la Reboune. Chaussures de marche, vêtements qui ne craignent rien et bâtons sont bienvenus pour piquer dans la boue… De l’eau et une assurance personnelle sont indispensables pour ce type de sortie. Les accompagnateurs ne sont pas des guides officiels mais des bénévoles qui vous font partager la découverte de ces lieux.

RV à 9h30 ou 14h30 Parking Jean Moulin à côté de la poste du Revest-les-Eaux.
Inscrivez-vous en utilisant le lien : https://doodle.com/poll/6yydamngbh42ifrp?utm_source=poll&utm_medium=link

lac Ragas rando
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