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Des travaux d’envergure lancés sur le massif du Mont Faron | Métropole Toulon Provence Méditerranée
Wed 21 Dec - 04:39

Afin de répondre à la problématique de sécurité liée à l'instabilité rocheuse du Mont Faron, espace remarquable protégé et classé, la Métropole TPM et la ville de Toulon mènent des travaux d'ampleur sur le massif afin de sécuriser la zone urbaine riveraine. Ce chantier d’une grande précision et d'une haute technicité a démarré en 2020 et s'étalera sur une quinzaine d'années. A ce jour, neuf secteurs ont été sécurisés et cinq chantiers seront engagés en 2023.

Travaux de sécurisation - massif du Mont FaronTravaux de sécurisation - massif du Mont Faron

C’est un chantier d’une grande envergure qui est actuellement en cours sur le massif du Mont Faron*, à Toulon. Cordistes chevronnés et hélicoptères sont à l’œuvre afin d'assurer l’installation des parades et du matériel nécessaires dans l’optique de sécuriser la zone urbaine qui jouxte le massif.

En effet, comme tout espace naturel, de par sa géologie calcareuse et sa topographie accidentée, le mont Faron est soumis à des mouvements de terrain et de fréquentes chutes de blocs pouvant engendrer des risques humains et matériels. 

15 ans de travaux de 2020-2035

Dans un souci de prévention des risques, la ville de Toulon s’est associée en 2007 à la Métropole TPM (gestionnaire du site) dans l'objectif de conduire un ensemble d'études environnementales réglementaires (comprenant l'étude d'impact, l'étude des incidences sur la faune flore et sur le paysage, ...) et géotechniques. Ces études préalables ont en effet permis, avant toute intervention sur le massif, de définir les mesures d'évitement et de réduction des incidences à la fois sur les habitats, la faune et la flore mais aussi sur le paysage au regard des travaux à réaliser; les études géotechniques ont permis de dimensionner les ouvrages de protection (parade). S'en suivra l’octroi des autorisations réglementaires ainsi que trois enquêtes publiques menées entre 2018 et 2022 afin d'informer les usagers et propriétaires afin d'enclencher les procédures. 

Un Plan Prévention Risques Naturels – Mouvements de Terrain (PPRN-MT) a été approuvé en décembre 2013.

3 zones identifiées et 19 projets

Dès lors, seules les zones dont l'aléa identifié comme « élevé » et « très élevé » ont été retenues et font l'objet d'un programme global de travaux géographiquement répartis en 3 zones et étalés sur une durée prévisionnelle de 15 ans (2020-2035) :

face nord-ouest,
face sud,
face nord.

L'observation de terrains et de modèles numériques ont conduit, en effet, l'individualisation de nombreux compartiments rocheux identifiant précisément la nature des travaux à engager face au risque.

19 projets, dont 10 portés par la Métropole TPM ont ainsi été identifiés comme prioritaires. 

Encadrés par la réglementation et les contraintes de sécurité militaire, ces travaux ne peuvent se dérouler que sur 3 mois d’octobre à décembre et nécessitent, depuis 2021, l'évacuation des populations impactées par le périmètre de survol de l'hélicoptère en charge. 

A ce jour, 9 secteurs ont été sécurisés, dont 6 sous maîtrise d’ouvrage de la Métropole et 2 en urgence (Vallon des Hirondelle et St Antoine).

En 2023, cinq chantiers devraient être engagés dont deux par la Métropole TPM (hors travaux d’urgence). 
À savoir que ce programme fait l’objet de subventions (État, Région, Département) dans le cadre de la politique de gestion du risque et protection des populations.

Protection de la faune et de la flore

Différentes mesures de protection ont été calibrées afin de garantir une protection optimale vis à vis du risque tout en réduisant l'impact pour le paysage, le milieu naturel et les espèces faune, flore associées. 

Cette protection est assurée par :

  • des parades dites passives (écrans pare-blocs, merlons) situés en pieds de falaises, dont l'intérêt est de stopper la propagation de blocs rocheux provenant des massifs dominants;
  • des parades actives (filets plaqués, emmaillotage, béton projeté, clouage...) qui assurent, quant à elles, le maintien des masses rocheuses instables, pouvant donner des blocs présentant un volume trop important pour les écrans pare-blocs.

Selon la nature, la complexité des travaux et la maîtrise foncière des sites, certains secteurs seront réalisés sur plusieurs années. 

Un suivi environnemental a été lancé dès 2021 et s'échelonnera sur 35 ans. Il sera réalisé pour l’ensemble des secteurs confortés et sur les deux sites de compensation (la Carrière de l'Ourdan et la grotte de Truébis) afin de suivre les impacts des travaux sur la faune et la flore et poursuivre leur protection.

Massif sous surveillance

Préalablement à la réalisation des travaux, le massif s’est doté, dès 2005, d’une surveillance dynamique en temps réel par instrumentation, tant sur les blocs les plus instables que sur un ensemble de falaises.

Ce dispositif vise à mesurer et enregistrer d'éventuels mouvements de falaise. 

Dès lors qu'une alerte est déclenchée, les services opérationnels des deux maîtres d'ouvrage (Ville et TPM), accompagnés par la sécurité civile et au PICS (Projet Intercommunal de Sauvegarde), peuvent déployer rapidement les moyens de protection nécessaires et adéquates selon le risque évalué. 

*Le massif du Mont Faron est un site classé ZNIEFF, Espace Boisé Classé, Espace remarquable, Réseau Natura 2000 et un site militaire protégé. De par sa dominante naturelle, il est par ailleurs renommé pour être le terrain de jeux de nombreuses activités sportives (randonnée, site d’escalade, cyclisme, ...)

Faron travaux
https://metropoletpm.fr/actualites/travaux-d-envergure-lances-massif-mont-faron
Mais que devient le fort du Grand Saint-Antoine dans la montée du Faron à Toulon? - Var-Matin
Thu 13 Oct - 13:48

Vendue aux enchères en 2015, l’ex-enceinte militaire située dans la montée du Faron reste une coquille vide. Propriété du milliardaire Christian Latouche, son avenir est entouré de mystères.

Publié le 08/10/2022 par Mathieu Dalaine

Derrière le pont-levis, l’entrée du fort Saint-Antoine que plus personne n’emprunte depuis longtemps. Photo V. L.P.Derrière le pont-levis, l’entrée du fort Saint-Antoine que plus personne n’emprunte depuis longtemps. Photo V. L.P.

Alex le connaît bien, le fort du Grand Saint-Antoine. Malgré les panneaux signalant une vidéosurveillance du site, le jeune homme croisé sur le pont-levis ce matin-là assure qu’il n’en est rien: "Il n’y a pas de caméra, pas de gardien, personne. J’ai pu rentrer à l’intérieur plusieurs fois. À l’emplacement de la tourelle, il y a un panorama magnifique".

Au pied des remparts, on devine une vue imprenable sur la ville et l’azur de la Méditerranée. Pas le plus connu des sites défensifs de la rade de Toulon, à l’écart de la route et caché sous les pins, le fort du Grand Saint-Antoine n’en est pas moins une pépite du patrimoine militaire. L’édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 2014.

Christian Latouche via Jean-Pierre Jarjaille

Depuis les remparts, la vue sur la rade est imprenable. Photo Ma. D.Depuis les remparts, la vue sur la rade est imprenable. Photo Ma. D.

Depuis 2015, il n’est pourtant plus la propriété de la Défense. Le 29 septembre de cette année-là, c’est un certain Jean-Pierre Jarjaille, président de la SCI La Dame Topaze, qui achète le fort aux enchères, déboursant au passage 1,2 million d’euros. À l’époque, celui qui dit passer ses vacances au Brusc laisse planer le doute sur les raisons de son acquisition. "Pour le moment, rien n’est décidé, ça peut évoluer", lâche-t-il, sibyllin.

En réalité, ce que ne dit pas Jean-Pierre Jarjaille, c’est qu’il n’agit pas pour son propre compte mais pour celui de son beau-frère, le milliardaire Christian Latouche. L’homme d’affaires, âgé aujourd’hui de 82 ans, est la 33e fortune française selon le magazine Forbes. PDG de l’entreprise Fiducial, il s’est enrichi dans l’expertise comptable, avant d’étendre ses activités aux fournitures de bureau ou à l’immobilier.

Parmi un gigantesque portefeuille d’actifs, quelques "sucreries": en 2015, Christian Latouche acquiert l’île de Boëdic, dans le golfe du Morbihan, pour 4 millions d’euros. L’année suivante, il dépense 2,2 millions d’euros pour s’offrir la magnifique villa Poiret, dans les Yvelines, déjà via Jean-Pierre Jarjaille.

Christian Latouche porte aussi un intérêt certain aux médias. S’il a échoué à racheter Valeurs Actuelles, le groupe Fiducial est parvenu à mettre la main sur Sud Radio en 2013, dont les émissions cultivent depuis la réputation de faire une bonne place aux idées réactionnaires.

Sud Radio aurait voulu y placer un émetteur

Et le fort Saint-Antoine dans tout ça? Si nous ne sommes pas parvenus à poser directement la question au milliardaire, qui cultive sa discrétion, une source interne à Fiducial nous a assuré connaître la raison de cet achat. "À l’époque, c’est quelqu’un du groupe, originaire de Toulon, qui nous avait conseillé le fort pour sa situation, confie notre interlocuteur. L’idée était d’installer un émetteur qui surplombe toute la rade, pour Sud Radio".

La proximité des installations militaires aurait compromis ces desseins. Et l’objectif de capter "plus d’audience" et donc plus de recettes publicitaires. "Mais du fait de l’armée, le projet ne pourra jamais aboutir", confie notre homme.

Quant à savoir ce que le site de 7 hectares, classé, au cœur d’un espace naturel protégé, est susceptible de devenir après l’échec de l’opération, le mystère reste entier. "On ne peut rien en faire", affirme-t-on à Fiducial, qui précise toutefois que "le groupe n’a jamais revendu ce qu’il a acheté". Et de conclure: "Aujourd’hui, on se contente d’assurer l’entretien et la surveillance du site…"

La ville n’en sait pas plus

La municipalité de Toulon affirme ne rien savoir des liens qui unissent la SCI La Dame Topaze à Christian Latouche. "Pour nous, le propriétaire, c’est Jean-Pierre Jarjaille", assure-t-on en mairie. Plus étrange, la Ville certifie qu’aucune demande n’a été formulée auprès de son service urbanisme ces sept dernières années pour l’installation d’un émetteur dans l’enceinte du fort.

Et du côté de la Marine nationale, on assure aussi n’avoir pas été sollicitée. "La seule requête qui nous a été adressée concernait l’abattage de neuf pins d’Alep qui menaçaient les fortifications, explique-t-on à l’hôtel de ville. Personne, de l’Architecte des bâtiments de France à la Direction des affaires culturelles, n’y a vu d’inconvénient".

Une chose est sûre, Sud Radio ne possède toujours pas de fréquence FM à Toulon.

Un bâtiment inscrit aux monuments historiques

Si le fort du Grand Saint-Antoine n’est pas l’œuvre de Vauban, il présente toutefois quelques caractéristiques intéressantes. Cet ouvrage, construit en 1845 sur la colline du Faron, sur les plans du capitaine Noël, est représentatif des principes d’architecture militaire de l’époque.

Le tracé est pentagonal, tout de calcaire gris vêtu. L’artillerie n’était pas sur le rempart mais placé sur une plate-forme centrale surélevée. Entouré de douves, accessible par un pont-levis aujourd’hui fixe, le site abrite également une caserne casematée, des locaux d’habitation, une citerne et un magasin à poudre. Le fort, y compris les fossés et les glacis (les terrains autour), est inscrit au titre des monuments historiques depuis 2014.

Situé sur le contrefort ouest du Faron, le fort du Grand Saint-Antoine avait pour mission de contrôler le débouché de la vallée de Dardennes. "Considéré comme l’ouvrage le plus urgent à réaliser pour empêcher le contournement du massif et une prise à revers par l’ennemi, le fort fit l’objet d’une décision de principe dès 1836", explique Bernard Cros, historien du patrimoine militaire (1). Il porte encore aujourd’hui les stigmates de la Libération de Toulon en août 1944.

Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, le fort du Grand Saint-Antoine n’a plus de fonction militaire. Il a ensuite été occupé par les archives du service historique de la Défense jusqu’en 2011.

1. L’aire toulonnaise, un conservatoire unique du patrimoine fortifié

Faron Fort-du-grand-Saint-Antoine Toulon
http://about://reader?url=https%3A%2F%2Fwww.varmatin.com%2Fhistoire%2Fmais-que-devient-le-fort-du-grand-saint-antoine-dans-la-montee-du-faron-a-toulon-798998
Pourquoi le sommet du mont Faron n'a plus de forêt - GénéProvence
Mon 25 Apr - 08:19

Le mont Faron est cette colline calcaire, de la forme d’une crête, qui surplombe Toulon (Var) et que l’on ne peut manquer d’apercevoir lorsqu’on aborde la ville par la mer. Culminant à 584 mètres d’altitude sur une longueur d’environ 3 kilomètres d’ouest en est, la colline présente une histoire singulière, notamment la période qui débute au XVIIe siècle, avec la construction d’un réseau de fortifications dont le but est d’assurer la protection d’une ville consacrée à la Marine royale.

Mais la protection qu’offre le mont Faron ne concerne pas seulement les affaires militaires de Toulon. Cette imposante colline a aussi l’avantage de protéger l’agglomération du vent du nord qui, comme on le sait bien, est redoutable en Provence.

Si l’on ne trouve sur les pentes du mont Faron que des petites espèces de plantes, telles que celles qui peuplent ordinairement la garrigue provençale, il faut bien penser qu’il n’en a pas toujours été de même.

Jusqu’au XVIe siècle, on trouvait en effet sur son sommet une abondante végétation, faite de pins d’Alep et de chênes verts. On croit notamment savoir que les poutres de la mairie de Toulon, construite en 1656, auraient été faites avec les mélèzes coupés sur les crêtes du Faron.

C’est en tout cas à cette époque, voire un siècle avant, que s’est enclenché un processus irréversible de désertification des pentes de la colline. Le principal responsable en est la chèvre, accompagné de son compère le mouton, dont le Faron a, durant des siècles, constitué un mets de choix. Les bergers menaient paître leurs troupeaux dans cette végétation abondante sans se douter qu’ils finissaient ainsi par condamner la colline. En quelques siècles, la chèvre avait dévoré jusqu’à la racine les dernières graminées.

Cette situation a également provoqué des troubles géologiques puisque, les terres n’étant plus solidement fixées, elles ont commencé à être ravinées par le torrent du Las vers la rade, allant parfois jusqu’à obstruer celle-ci.

Des documents d’archives montrent bien d’ailleurs qu’il y a 450 ans, le sommet du Faron (que l’on appelait alors « montagne »), n’était plus boisé. Si l’on observe attentivement le tableau intitulé Route de Toulon, on remarquera que son auteur, le peintre Joseph Vernet, représente un mont Faron complètement nu, avec, dans sa partie haute, de longues files de murailles en partie effondrées et des sillons abandonnés où le genêt, le genévrier et le kermès végètent péniblement autour de quelques maigres chênes verts et de quelques pins d’Alep rabougris, très semblable au final à ce que l’on observe aujourd’hui encore.

Les Toulonnais ont bien tenté de reverdir les pentes du mont Faron et notamment son sommet, notamment vers le milieu du XIXe siècle, mais les vignes et les oliviers médiévaux ne sont malheureusement plus parvenus à s’implanter de façon pérenne.

Faron Forêt
http://www.geneprovence.com/pourquoi-le-sommet-du-mont-faron-na-plus-de-foret/#respond
Forts du Faron, de l'adret à l'ubac - Samedi 2 octobre 2021 (Page 1) – Balades et randonnées – Sur la Place du Village
Sat 25 Sep - 13:51

Avec Bruno Bagni, professeur agrégé d’histoire.

Deux possibilités :

• Randonnée pédestre commentée par Bruno ; boucle au départ du Fort Saint Antoine, passage par la tour de l’Uba avant de grimper vers la tour de Beaumont et le Mémorial du Faron. Retour après la visite du musée par un sentier qui démarre au téléphérique, avec un crochet par le Belvédère
(7 km environ et 400m de dénivelé cumulé ).
Le RV est fixé au parking de la Chapelle des Moulins à 9h30 pour covoiturage jusqu’au Fort Saint Antoine.

• Pour ceux qui souhaitent nous retrouver là-haut, le RV est fixé pour pique-niquer ensemble à 12h30 devant le Mémorial.
Vous pouvez vous y rendre en voiture ou par le téléphérique https://www.telepherique-faron.fr/
(billet couplé téléphérique AR + Mémorial pour 11,50€)

Mémorial du Mont Faron

La visite du Mémorial, d’environ deux heures, démarre à 14h30 avec un guide du musée. Le tarif pour le groupe est de 3€ par personne (À remettre au point de RV. Pensez à la monnaie…). Le passe sanitaire est exigé.
Prévoir un pique-nique et de l’eau. Pour les randonneurs, les chaussures de marche sont nécessaires et les bâtons fortement conseillés. Les accompagnateurs sont bénévoles et une assurance personnelle classique est indispensable pour ce type d'activité.
Inscrivez-vous sur Doodle ! https://doodle.com/poll/q8bs4wreniumfg4n?utm_source=poll&utm_medium=link

Renseignements : Marie-Hélène Taillard 06 20 95 21 88

Faron rando
https://forum.revestou.fr/post1037.html#p1037
Découvrez la transformation de cette ancienne cabine du téléphérique au mont Faron
Sat 17 Jul - 13:06

Il y a trois ans, les anciennes cabines du téléphérique ont été remplacées. L’une d’elles, relookée par le designer Patrick Jouffret, fait son retour en haut du mont Faron sous forme de banque d’information, pendant la saison estivale, de juin à septembre

Téléférique recycléTéléférique recyclé

Faron information recyclage tourisme
https://www.varmatin.com/vie-locale/decouvrez-la-transformation-de-cette-ancienne-cabine-du-telepherique-au-mont-faron-702390
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